La CPAM Haute-Garonne et la Mutualité Française renforcent leur collaboration

De gauche à droite : Bernard Creissen, Président de la Mutualité Française Occitanie / Isabelle Comte, Directrice de la CPAM Haute-Garonne / Elvire de Almeida Loubière, Présidente de la Mutualité Française Haute-Garonne.

Le 27 septembre 2024, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) de Haute-Garonne et la Mutualité Française Occitanie et Haute-Garonne ont signé une convention de partenariat. Celle-ci marque une étape importante dans leur engagement commun pour améliorer l’accès aux soins et développer des actions de prévention pour tous.

Un partenariat au service des assurés qui s’inscrit dans la durée

Depuis 2013, la CPAM de la Haute-Garonne et la Mutualité Française œuvrent ensemble pour offrir un service plus efficace, plus accessible et mieux adapté aux besoins de chacun.

Par la signature de cette convention-cadre, la CPAM de la Haute-Garonne et la Mutualité Française souhaitent consolider et approfondir leurs coopérations afin de promouvoir l’accès aux droits, aux soins, à la santé et à la prévention des habitants de la Haute Garonne, et en particulier des plus vulnérables.

Un partenariat dont les objectifs se déclinent en actions concrètes

Pour les habitants et les professionnels de santé mutualistes de la Haute-Garonne, cette convention vise à :

  • Améliorer l’accès aux droits et aux soins des habitants, en renforçant la coordination entre les organismes pour une meilleure prise en charge des assurés. De façon plus globale, les signataires s’engagent à informer largement les habitants sur les différents dispositifs pour simplifier les démarches administratives et faciliter les parcours de soins.
  • Mettre en œuvre des actions de prévention et promotion de la santé par le déploiement d’actions conjointes sur des priorités de santé communes (santé mentale, santé environnementale ou bien encore dépistages des cancers par exemple).
  • Aider à la recherche d’un médecin traitant pour les assurés en affection longue durée qui ne bénéficieraient pas d’un suivi médical.
  • Promouvoir le dispositif Mon Espace Santé, espace numérique et personnel qui a vocation à devenir le carnet de santé de tous les assurés.