Première Assemblée générale de la Mutualité Française Occitanie

La première Assemblée générale de la Mutualité Française Occitanie s’est tenue le 14 juin au Mas de Saporta à Lattes. 125 délégués présents ont examiné et approuvé les comptes et les résultats de l’année.

Pierre-Jean Gracia, Président de la Mutualité Française Occitanie, est revenu sur les faits marquants en 2016 liés à la fusion entre la Mutualité Française Languedoc-Roussillon et la Mutualité Française Midi-Pyrénées, les événements qui ont mobilisé la nouvelle Union en ce début d’année et son activité. Il se félicite de cette récente structuration, de l’avancée de l’activité, salue la réussite et la montée en puissance des actions et des partenariats sur les territoires. Et souligne les défis politiques majeurs à relever et les ambitions et orientations fédérales en matière de santé et de protection sociale à déployer sur la nouvelle grande région.

En effet, depuis le 1er janvier 2017, la Mutualité Française Occitanie est en marche. Elle se mobilise sur les questions d’accès aux soins sur l’ensemble des territoires et apporte des réponses globales de proximité en matière de parcours de soins. Elle propose des actions à l’ensemble de la population en veillant au développement du maillage territorial au sein des deux régions.

Ce fut aussi l’occasion de présenter les travaux liés au congrès de la Mutualité qui aura lieu du 13 au 15 juin 2018 à Montpellier. Un événement majeur réunissant à la fois l’ensemble des militants mutualistes et de nombreuses personnalités du monde de la santé et de l’économie sociale et solidaire.

Enfin à l’issue de l’Assemblée Générale, une présentation du travail menée autour du renoncement aux soins depuis 2014 avec la Caisse Primaire du Gard a été faite par Aurore CROUZET, sous directrice. Ce fut l’occasion de présenter un premier bilan du dispositif PFIDASS (Plateforme d’intervention départementale pour l’accès aux soins et à la santé), de faire état des collaborations fructueuses avec le mouvement mutualiste dans le Gard et de tracer les perspectives du dispositif appelé à se généraliser en 2018.